L’acupuncture est l’un des outils de la Médecine Traditionnelle Chinoise.

Connue depuis l’antiquité, elle est cependant l’objet de recherches modernes et ses champs d’application ne cessent de s’élargir. Elle participe largement à la prévention des maux courants et à la consolidation des défenses naturelles. De nos jours, elle s’associe à la médecine occidentale dans le cadre d’études sur les nouvelles pathologies mondiales (cancer, diabète…).

L’ acupuncture peut tout aussi bien être prodiguée sans aiguille sans pour autant perdre de son efficacité.

Elle a pour effet de rétablir une circulation harmonieuse de l’énergie vitale. Elle permet le bien-être mental, physique, psychologique et émotionnel. Elle consiste à rétablir un équilibre dynamique entre deux forces complémentaires, yin et yang, qui imprègnent le corps humain de la même manière que l’univers dans son ensemble.

Selon la « Médecine Traditionnelle Chinoise », une personne est en bonne santé lorsqu’il existe une harmonie entre ces deux forces; la maladie, en revanche, résulte d’une rupture de l’équilibre du yin et du yang.

L’acupression, une méthode préventive

Elle permet de prévenir certains troubles induits par les déséquilibres énergétiques, comme elle renforce également la résistance aux maladies infectieuses.

Un extrait du Nei Jing (plus ancien ouvrage de Médecine Chinoise Traditionnelle, ouvrage daté entre -500 et +200 ans de notre ère) résume à lui seul ce vers quoi l’ acupuncture tend :

« Quand la thérapie médicinale n’est utilisée qu’une fois la maladie déclarée, quand on ne tente de restaurer l’ordre qu’une fois que les troubles ont éclaté, c’est comme si une personne avait attendu d’être affaiblie par la soif pour creuser un puits, ou si l’on commençait à forger une lance alors que la bataille est déjà engagée. N’est-il pas déjà trop tard? »

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    Les soins énergétiques traditionnels Chinois ne sont pas des actes médicaux et ne sauraient par conséquent en aucun cas remplacer les soins prodigués par votre médecin. Tout traitement médical et médicamenteux ne doit pas être interrompu sans l’avis de votre médecin. Conformément à la loi du 30 avril 1946, au décret N° 60665 du 4 juillet 1960, aux articles L489 du décret du 8 octobre 1996.